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Brotherhood

Ras la casquette.

ras la casquette ca c'est bien pas étonnant quand on voit la musique que les jeunes écoutent tout ça à cause du rap

ras la casquette
ras la casquette 
Alors la non.
Trop c'est trop.
Beaucoup trop c'est beaucoup trop.
Ein Tish ist ein Tish.
La brotherhood compagny aujourd'hui s'indigne, la brotherhood compagny aujourd'hui en a marre, la Brotherhood compagny en a ras la casquette. Mais quest ce donc que cette jeunesse qui dérive doucement vers la délinquance? Comment s'étonner de la montée de l'insécurité ou du succès toujours plus croissant du film Bambi 2 après avoir vu ce que j'ai vu? Car oui, ce week end, la Brotherhood compagny a vu le gettho, le vrai gettho, encore plus gettho que ce gettho qu'on appel Nodier. Et la Brotherhood compagny a compris. Elle a compris le vrai probleme provoquant la préparation d'une révolution dans les banlieues paraissant si loin des préocupations de nos amis citadins. Ben oui, on nous lavais dit lors de la "révolte des banlieues", le probleme c'est la musique.  Et tout particulierment le rap. Apres tout apres avoir vu Rambo, qui n'a pas tenté de s'engager dans larmée pour aller défoncer ces salauds de Viet? C'est pareil pour le rap. Lorsqu'on entend des textes de la sorte, qui pronent des valeurs tel que la violence, la drogue douce, ou encore pire ,l 'avortement*, comment ne pas comprendre tout ce remue ménage.

(* Ce week end, dans un but toujours plus avoué de se faire de la thune, la brotherhood compagny a décidé de soutenir des sectes catholiques conservatrices. Demain, on sera a nouveau open, pour l'avortement et contre la peine de mort (sauf pour le vol a l'étalage)).

Bon voila donc un texte de jeune loup qui nous révolte :

Diam's - La Boulette (Génération Non Non)

[Chant]
Alors ouais, j’me la raconte, ouais ouais, je déconne.
Non non, c’est pas l’école qui m’a dictée mes codes.
On m’a dit qu’t’aimais le rap, voilà de la boulette.
Sortez les briquets, il fait trop dark dans nos têtes.

[Rap]
Alors ouais, j’me la raconte, ouais ouais, je déconne.
Non non, c’est pas l’école qui m’a dictée mes codes.
On m’a dit qu’t’aimais le rap, voilà de la boulette.
Sortez les briquets, sortez les briquets !

[Couplet 1]
Y’a comme un goût de haine, quand je marche dans ma ville.
Y’a comme un goût de gène, quand je parle de ma vie.
Y’a comme un goût d’aigreur, chez les jeunes de l’an 2000.
Y’a comme un goût d’erreur, quand j’vois le taux de suicide.
Me demande pas ce qui les poussent à casser des vitrines.
J’suis pas la mairie, j’suis qu’une artiste en devenir moi.
J’suis qu’une boulette, me demande pas si j’ai le bac, j’ai que le rap, mais je l’embarque, ou je l’embrase, je le mate car je l’embrasse.
Y’a comme un goût d’attentat, comme un goût de Bertrand Cantat, comme un goût d’anthrax pendant l’entracte.
Y’a comme un goût de foulek foulek chez les mômes.
Comme un goût de boulette boulette sur les ondes.

[Refrain X 2]
Alors ouais, on déconne, ouais ouais, on étonne.
Non non, c’est pas l’école qui nous a dictée nos codes, non non.
Génération non non.

[Couplet 2]
Y’a comme un goût de viol, quand tu marche dans ma ville.
Y’a comme un goût d’alcool, dans les locaux de police.
Y’a comme un goût de peur, chez les meufs de l’an 2000.
Y’a comme un goût de beuh, dans l’oxygène qu’on respire.
Me demande pas ce qui les poussent à te casser les couilles.
J’suis pas les secours, j’suis qu’un petite qui s’débrouille moi.
J’suis qu’une boulette, me demande pas si j’aime la vie, moi j’aime la rime et j’emmerde Marine, juste parc’que ça fait zizir.
Y’a comme un goût de bad boy, comme un goût d’Al Capone, comme un goût de hardcore (hardcore) dans les écoles.
Y’a comme un goût de foulek foulek chez les mômes.
Comme un goût de boulette boulette sur les ondes.

[Refrain X 2]

[Couplet 3]
Y’a comme un goût d’église, dans l’inceste et dans l’enfance.
Y’a comme un goût d’Afrique, dans les caisses de la France.
Y’a comme un goût de démé-démago, dans la bouche de Sarko.
Comme un goût de mi-michto, près des mercos.
Y’a comme un goût de « Ouh ! Ouh ! » dans les chambres des jeunes.
Y’a comme un goût de « Boum ! Boum ! » dans le cœur de mes sœurs.
Y’a comme un goût de « j’suis saoulé » de tout c’qui se déroule.
Y’a comme un goût de foulek, de boulette, qui saute dans la foule.

[Refrain X 4]

D.I.A.M.
D.I. D.I.A.M.S.
D.I.A.M.
D.I. D.I.A.M.S.
D.I.A.M.
D.I. D.I.A.M.S.
D.I.A.M.
D.I. D.I.A.M.S.

Ouais, grosse !



N'importe quoi ces jeunes, la brotherhood compagny décide d'être plus "politiquement correct", et vous traduise ce que devrait etre les paroles de cette fabuleuse artiste qu'est diam's :

Diam's - La Boulette (Génération Non Non)
(retraduction par la brotherhood compagny)

[Chant]
Alors oui, je me pavanne en public, oui oui , je plaisante.
Non non, c'est bien l'éducation nationale qui appris a faire des dictées et a passer mon code de la route.
Une personne m'a affirmé que tu aimais la musique, voilà quelque chose qui ne devrais pas te laisser indifférent.
Sortez les briquets s'il vous plait (mais attention, ne jouez pas avec le feu, cela peut etre dangereux) ,  car nous ne sommes pas au mieux de notre forme.

[Rap]
Alors oui, je me pavanne en public, oui oui , je plaisante.
Non non, c'est bien l'éducation nationale qui appris a faire des dictées et a passer mon code de la route.
Une personne m'a affirmé que tu aimais la musique, voilà quelque chose qui ne devrais pas te laisser indifférent.
Sortez les briquets s'il vous plait (mais attention, ne jouez pas avec le feu, cela peut etre dangereux). (bis)

[Couplet 1]
Je ressent de la haine, lorsque je me promène dans ma belle municipalité.
Je ressent  du gênes lorsque je vais au sommet du G8 (bon ok cette vanne n'est pas tres politiquement correct, mais c'était trop tentant).
Je ressent un goût d’aigreur, dans le nouveaux schweppes agrum.
Je ressent  un goût d’erreur, quand j’vois le taux de suicide dûe au cannabis (alors faite attention les jeunes!).
Ne me demande pas ce qui les poussent à casser des verres par mégarde, et ca, dieu sait que ce n'est pas bien.
Je ne suis pas la mairie, je suis une artiste en devenir moi.
Je ne suis qu’une "boulette",ne me demande pas sil te plait si j’ai obtenu le baccalauréat (bien entendu que je l'ai car l'éducation nationale ma beaucoup aidé), je n'ai que le "rap", mais je l’embarque, ou je l’embrase (mais ne le faite pas chez vous), je le mate car je l’embrasse.
Il y a comme un goût d’attentat, comme un goût d'ex chanteur de Noir désir, comme un goût d’anthrax pendant l’entracte.
Il y a comme un goût de foulek foulek chez les jeunes personnes.
Comme un goût de "boulette boulette" sur les ondes hertziennes.

[Refrain X 2]
Alors oui, je me pavanne en public, oui oui , je plaisante.
Non non, c'est bien l'éducation nationale qui appris a faire des dictées et a passer mon code de la route.
Génération non non.


[Couplet 2]
Il y a comme un goût de violette (la fleur), quand tu marches dans ma suympathique municipalité.
Il y a comme un goût d’alcool, dans les magazins d'alcool.
Il y a comme un goût de peur, chez les peureux.
Il y a comme un goût de drogue a ne jamais toucher, en Colombie.
Ne me demande pas ce qui les poussent à te faire mal aux parties génitales masculines.
Je ne suis pas les secours (subventionner par notre gouvernement), je ne suis qu’une petite qui se débrouille moi (mais le systeme m'aide beaucoup).
Je ne suis qu’une "boulette", ne me demande pas si j’aime la vie, moi j’aime la rime et j'approuve ma désaprobation à une femme très laide d'esprit , uniquement car cela me procure un plaisir intense.
Il y a comme un goût de mauvais garçon, comme un goût d’Al Capone, comme un goût de chose inutile.
Il y a comme un goût de foulek foulek chez les jeunes personnes.
Comme un goût de "boulette boulette" sur les ondes hertziennes.

[Refrain X 2]

[Couplet 3]
Il y a comme un goût d’église, dans notre dame de Paris.
Il y a comme un goût de continent comprenant des pays en développement, dans les caisses d'une superette de quartier.
Il y a comme un goût de démagogie, dans la bouche d'un petit hongrois a intelligence réduite.
Comme un goût de mercedes Benz.
Il y a comme un goût de « Ouh ! Ouh ! » dans les forêts ou il y a des hiboux.
Il y a comme un goût de « Boum ! Boum ! »  le 14 juillet, jour de la fête nationale, et de ce formidable rassemblement d'un pays autour de l'amour de sa patrie.
Il y a comme un goût de « j'en ai ras la casquette » de tout ce qui se déroule.
Il y a comme un goût de foulek, de boulette de viande, qui saute dans la foule.

[Refrain X 4]

D.I.A.M.
D.I. D.I.A.M.S.
D.I.A.M.
D.I. D.I.A.M.S.
D.I.A.M.
D.I. D.I.A.M.S.
D.I.A.M.
D.I. D.I.A.M.S.

Oui, peronne a surcharge pondérale!


Voila, grace à la brotherhood compagny vos enfants ne seront pas délinquants s'ils écoutent cette musique.Alalala, quelles âmes charitables.

Bisous partout.

ps : Si dieu n'existe pas, qui ouvre les portes des supermarchés?

ps 2 : "la derniere fois que j'ai pénétré une femme, c'était la statut de la liberté", Woody Allen

Erratum : cette erratum a été ajouté par erreur.


 

hommage for you !!!!!

un homme une part un homme a part cracracramooootte waouuu

un homme
un homme 

La brotherhood compagny étant depuis quelques mois dans l'univers du blog underground (qui a pour unique but de détruire le blog de beauf que malheureusement nous connaissons trop), nous vous proposons aujourd'hui le portrait d'un homme hors normes, qui tend à être connus, et qui est déjà une figure emblématique dans ce ghetto qu'on appelle Nodier.

 

Encore méconnus des medias, malgré un jeux d'acteur studio énorme, cet Homme qu'on appel Maxime Kramote (avec un K, sa nous rappelle le KKK) est né bien entendu dans la terre sacré : le Jura, issu du subtile mélange des amendes craquantes et de la douceur de la pistache, cet homme allait connaître une vie hors du commun. Dès son plus jeune age Maxou est incompris par ses parents qu'il finira par tuer le 14 du mois. Connus pour être le plus grand marginal précoce du monde, il lança (a l'age de 6 ans) sur les planches, KRS-one, Public Enemy, Nas, The Roots, The Game, Texas, et du pain ( d'où l'expression "avoir du pain sur la planche").

 

Mais il compris très vite que si les dieux l'avaient envoyé sur terre, c'est que celui-ci avait une mission Politique et Sociale. C'est en effet grâce au petit buddha ( Surnom que lui ont donné les tribunes indiennes latines) que le commerce triangulaire pris fin, grâce notamment à son fameux discours "j'accuse" où il est dit, je cite  "qui a le droit de m'interdire d'être vivant, de quels cotés se trouvent les bons et les méchants, leurs évangiles ont fait de moi un non-croyant".

 

 

 

Mais son combat pris un vrai sens après son voyage en Afrique et après s'être tapé les filles de petites vertus (aka des putes) des 8 continents.  Maxou encourage alors les Noirs à devenir « les bourreaux de nos bourreaux » ; il se rend à Cuba, puis au Nord Vietnam et déclare : « Nous souhaitons n’avoir rien en commun avec le gouvernement des Etats-Unis ou le régime américain. Nous sommes des révolutionnaires". C'est sur ces quelques mots qu'il décida d'entamer ses études secondaires à Nodier en suivant une  filière ES, où son charisme et sa Popularités vont très vite lui permettre de soulever les foules; membres leader de l'A.F.P (association des freins pétés) il montra très vite la voie à suivre aux autres membres en déclarant ( tout en parodiant Beaumarchais) dans "A.F.P magazine"," je suis dur avec les grands, indulgent avec les petits".

 

 

 

Sa volontés de vaincre la domination blanche, s'étant outre Atlantique ( et sur les loutres d'Atlantique);  Le 11 août 1965, des émeutes éclatent à Watts, le quartier noir de Los Angeles peuplé de 250 000 Noirs, tout ça bien sur sous l'influence du petit buddha.

 

La même semaine, Chicago et Springfield s’embrasent selon des schémas assez similaires. Les étés 1966 et 1967 voient l’embrasement de nombreux ghettos dans plus d’une centaine de grandes villes à travers le pays. A Newark, dans le New Jersey, les émeutes font plus de 20 morts.

 

 

 

Mais le petit buddha n'avait pas encore montré de quoi il était capable; ce qui se passa du 24 au 28 juillet 1967 à Detroit dépassa tout cela. Robert Kennedy parla « de la plus grande crise américaine depuis la guerre civile », le Washington Post de « la plus grande tragédie dans la longue histoire des explosions des ghettos de couleur ». Après une razzia de la police contre un café clandestin black, c’est l’émeute et la répression. Les tanks sont dans les rues avec des parachutistes en formation, on tire contre les gens dans les rues et sur les places. Des dizaines d’hélicoptères mitraillent les fenêtres. Des pans entiers de la ville furent en feu, les rues étaient dévastées. Dans les quatre journées et nuits d’affrontements, la police, la garde nationale et les parachutistes de la 82ème et 101ème division (qui s’étaient illustrés au Viêt-nam) reprennent le terrain, rue par rue, dans ce qui est tout de même la cinquième plus grande ville US, la capitale mondiale de l’automobile.

 

Il y eut pour plus de 7 milliards de francs de dégâts. le petit buddha, dit : « avant la ville s’appelait Detroit, maintenant elle s’appelle Destroyed".

 

 

 

Puis après toute cette agitations, Maxou passa son Bac de Français, une franche réussite dû a son physique avantageux.

 

Puis il fut ensuite le bras droit de Carl Strokes, qui a était élu maire de Cleveland en 1967, c’est la première fois qu’une grande métropole élit un maire noir et membre de L'A.F.P.

 

Après avoir fuit temporairement la célébrité, pour ce consacré a son Bac, il déclara dans le magazine "jeune et jolie"  « Le parti a conscience du fait que le racisme est ancré dans une grande partie de l'Amérique blanche, mais il sait aussi que les sectes embryonnaires qui prolifèrent à l'heure actuelle dans la communauté noire ont à leur base une philosophie raciste […]. Nous ne combattons pas le racisme par le racisme. Nous combattons le racisme par la solidarité. Nous ne combattons pas le capitalisme exploiteur par le capitalisme noir. Nous combattons le capitalisme par le socialisme. Nous ne combattons pas l'impérialisme par un impérialisme plus grand. Nous combattons l'impérialisme par l'internationalisme prolétarien. […] Nous croyons que notre combat est une lutte de classe et non pas une lutte raciale ».

 

 

 

A l'heure actuel le petit buddha tente une carrière dans le monde du tennis.

 

 

 

Nous voila ravi de vous avoir fait découvrir cet homme qui restera dans les annaux.

 

melting pot.

hey pas de bruit ca sur les blogs ca cartonne, mais on sait aps pourquoi.

hey
hey 
Alors gros? Bien?
Sur ce début de jeune fanfaron la brotherhood compagny est sur le flex pour  divaguer autour de sujet divers et variés, aujourd'hui : la couture.
La couture, qu'est ce que c'est? c'est bien simple, la couture, c'est ce que tu ferais si tu habitais au Vietnam jeune loup. Bon en gros la couture c'est faire un pull.
On s'en fou de la couture en fait, et dans une dimension ultra libéraliste toujours plus poussée, la Brotherhood compagny décide de te parler d'un sujet plus commecial, plus vendeur, plus "festival de Cannes" : la haute couture. Ben ouai mec, la haute couture, ca le fait. Surotut quand on sait le prix, paske un sac ou tu peux même pas mettre un ballon de foot (on a une vision assez masculine de la couture) qui coute 99999 euros, c'est la classe.
Un intéret tout particulier de la haute couture vient aussi des gens qui la font, en effet, ces personnes à la Karl Lagerfield ou autre John Galliano sont tous "français moyen", et propose une vision de la vie accessible a tous.
Bon allez  la haute couture finalement c'est chiant, alors parlons autre chose, parlons bien, parlons goutu, parlons TUC.
Qu'est qu'un Tuc?  Un tuc c'est un petit gateau, a ne pas confondre avec un turc, qui se décline sous la forme de toilette.
O pis merde on s'en bas la race des tucs. Mais qu'est ce qui peut donc passionner les gens du 21 eme siècle? La drogue? L'alcool? La prostitution? Les engrais Fertiligène? La vente d'arme? La liste des 23? La liste de schindler? Permettez moi d'en douter. Et par la même occasion de douter de la réduction de la fracture social en 100 jours.
C'est alors que je m'en vais me balader sur les blogs de nos confreres venant des 4 coins de l'hexagone (une erreure s'est glissée dans cette affirmation) et je comprend ce qui passionne les gens aujourd'hui. Voila donc :

- Dire a ses amis qu'on les surkiffe grave chanmax en écrivant cOmmE Ca. Je m'éxécute (mais je ne me suicide pas) MaRc Et JIm La VIe AveC VouS C De La BoulEtte (Et LeS AutreS aUssI). GénéRaTiOn Nan nAn. Putin les gars avec ca si on pete pas tout les scores de visites de blog.

- Mettre des messages suicidaires : okay, ca doit etre fesable. Ras le bol général, finir dans une flaque de sang serait donc la résorption de mes problemes car la vie c'est de la merde.

- Ecouter du métal. Alors la rien a faire, j'ai pas réussi. J'ai tenté avec de l'acier, de la fonte, et même du fer,  jamais aucun bruit. GroOooOooOOoosse vanne.

Allez les boyz and girls I love you everybody.

ps : l'important c'est pas la chute, c'est l'atterissage

ps 2 : dédicace a Priape que j'ai découvert ce week end, et qui correspond bien a l'image de la Brotherhood compagny.

 

le Théâtre

theatre

theatre
theatre 

Préface: Suite a certains commentaires de Mathieu B.., 18 ans (mais al a taille d'un enfant), drogué, prostitué...; la Brotherhood Compagny s'indigne et dit Non. C'est pour cela que la brotherhood compagny ce lance dans ce qu'on appelle l'art littéraire, et plus précisément  c'est grâce a l'oeuvre théâtrale que nous allons dénoncé les grands fléaux de cette société.

 

 

 

 

 

 

 

 

 

Dites Non a la drogue

 

 

 

 

(comédie)

 

 

 

 

Personnages

 

 

 

 

Karl: homme moderne

 

 

 

 

Suzanne: femme de karl

 

 

 

 

Armande: femme de karl

 

 

 

 

Bélise: femme de karl

 

 

 

 

Henriette: femme de karl

 

 

 

 

Philaminte: femme de Karl

 

 

 

 

Martine: femme de Karl

Marine: femme de Karl mais morte avant le premier Acte

       Acte premier

 

 

 

 

scène 1

 

 

 

 

Dans une maison quelconque à un endroit quelconque

 

 

 

 

Suzanne

 

 

 

 

Suzanne: (entrain de ce rouler une cigarette de canabis): Mince, j'entend mon mari arrivé, si il me voit fumer ma drogue, il me tura.

 

 

 

 

scène 2

 

 

 

 

Suzanne, Karl

 

 

 

 

Suzanne: Mon mari!!!!!!!

 

 

 

 

Karl: AAAhhhh!!!! coquine je te prend la main dans le sac.

 

 

 

 

Suzanne: NON!!! c'est faux, je ne fume pas de Canabis et ce n'est pas moi qui a crevé les pneus de ton nouveau 4x4.

 

 

 

 

Karl: Quoi, tu fume de la drogue, bon écoute, il faut que l'on parle.

 

 

 

 

Suzanne: Mais c'est bon, je le connais ton vieux discours sur la drogue, Comme quoi c'est mauvais pour la santé, et que la possession de Canabis est sévèrement puni par l'Etat et qu'on peut se retrouver en prison avec des méchant Messieurs qui veulent te sodomiser.

 

 

 

 

Karl: non, tu peut crever a cause du Canabis, j'en est rien a foutre, t'est la plus moche de mes femmes, De plus la sodomie est une expérience a vivre.

 

 

 

 

Suzanne: Cooollll, alors je peut fumer kiltran. 

 

 

 

 

Karl: Non , tu ne fume pas, attend j'entend quelqu'un, cache moi cette drogue.

 

 

 

 

 

 

 

 

 

scène 3

 

 

 

 

Suzanne, Karl, Armande, Bélise (caché derrière la porte)

 

 

 

 

Bélise: Salut, les coco (diminutif de copain et communiste), vous auriez pas vu mon vibro?

 

 

 

 

Suzanne: si, il est dans ma chambre, vaci prend le.

 

 

 

 

Bélise: car lui il sait  me donner du plaisir au moins!!!!

 

 

 

 

Karl: attend, on va pas remettre sa, ici, je t ais déjà dit que 13 cm c'est largement suffisant, pour prendre son pied.

 

 

 

 

Bélise: (sortant de sa cachette) OUUIIIIj je suis d'accord avec Karl, 13 cm, c'est largement suffisant.

 

 

 

 

Karl: merci, maintenant sauvez vous.

 

 

 

 

 

 

 

 

 

scène 3'

 

 

 

 

Suzanne, Karl

 

 

 

 

Suzanne: Mais je suis libre, laisse moi me droguer, en plus sa ne te dérange pas, je comprend pas ce que tu veux ?  

 

 

 

 

Karl: Je veu "que l'on parle de moi, que partout dans la rue, que les filles soit nues, quelles se jettent sur moi, quelles m'admirent, quelles me tuent."

 

 

 

 

Suzanne: .......?????

 

 

 

 

Karl: excuse moi, je m'emporte, attend, Henriette m'appelle.

 

 

 

 

 

 

 

 

 

scène 4

 

 

 

 

Suzanne, Karl, Henriette

 

 

 

 

Karl: Il est dans la chambre a Suzanne, mais Armande l'utilise en ce moment.

 

 

 

 

Henriette: Où est le vibro ?

 

 

 

 

Karl: Connasse va,  ta posé ta question après ma réponse, alllééé casse toi.

 

 

 

 

 

 

 

 

 

scène 5

 

 

 

 

Suzanne, Karl, Henriette

 

 

 

 

Karl: Bon, écoute, si je ne veu pas que tu drogue, c 'est exclusivement sur un point de vue moral...

 

 

 

 

Suzanne: c'est a dire ???,

 

 

 

 

Karl: La drogue, est l'invention du diable, de l'homme blanc, qui l' a toujours utiliser pour manipuler le peuple noir, pour l'exploiter, et qui continue toujours a profiter des peuple d'orient grâce a sa drogue. Donc en fumant,  en snifant, en te piquant, ou même en buvant ta merde, (oui je place l'alcool au même rang que le cana, l'héro,la coke...) tu participe a la manipulation et a la destruction du peuple noir. Regarde ces papiers le prouvent

 

 

 

 

Karl: (passe amicalement les papiers a Suzanne): fait toi ton propre avis, moi il faut que j'aille voir Philaminte.

 

 

 

 

Karl allant pour sortir de la pièce et laissant seul Suzanne le temps de la reflétions, il vit arriver avec fracas Martine.   

 

 

 

 

 

 

 

 

 

scène 6

 

 

 

 

Suzanne, Karl, Martine

 

 

 

 

Karl: Mon dieu !!!! que t'arrive t-il Martine?

 

 

 

 

Martine: une question me turlupine.....

 

 

 

 

Karl: et ba vaci.

 

 

 

 

Martine: c'est quoi un homosexuel?

 

 

 

 

Karl: je suis content que tu me pose cette question, tu t'est adressé a la bonne personne. Un homosexuel, c'est l'esprit du malin placés d'un un corps humain, les homosexuels sont les créatures les plus détestables de Dieu, leur coeur est remplacé par une pierre, et ce n'est pas du sang qui coule dans leur veines mais du vomie, les homosexuels sont le mal absolue.

 

 

 

 

Martine: c'est vrai????

 

 

 

 

Karl: Nan, grosse vanne, les homo c'est juste des hommes qui aiment les hommes, ou des femmes qui aiment les femmes, et respecte les.

 

 

 

 

Martine: OK , c cool kissssous

 

 

 

 

Karl: kissous, bon je vais voir Philaminte.

 

 

 

 

 

 

 

 

 

scène 7

 

 

 

 

Karl,  Philaminte

 

 

 

 

Karl: écoute Philaminte, j'ai quelque chose d'important a te dire?

 

 

 

 

Philaminte: Oui, je t'écoute.

 

 

 

 

Karl: Je ne suis pas t'on père. !!!!!

 

 

 

 

Philaminte: ouai, je sais, tu est mon mari.

 

 

 

 

karl: oufff !!!! je suis content que tu le prenne comme sa, bon je retourne voir Suzanne.

 

 

 

 

 

 

 

 

 

scène 8

 

 

 

 

Suzanne, Karl

 

 

 

 

Suzanne: Karl, tu ma ouvert les yeux, je dit NON a la drogue.

 

 

 

 

Karl : très bons choix

 

 

 

 

Suzanne: je connais maintenant mieux ce qui ce passe en banlieue que Thuram.

 

 

 

 

 

 

 

 

 

scène 9 (scène finale)

 

 

 

 

tous les personnages

 

 

 

 

Tous les personnages: Comme la Brotherhood Compagny dites NON a la drogue, a toutes les drogue.

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 FIN

 

lettre persante

photo souvenire mon futur pèlerinage Q.G des B.P.P avec deux potes a moi tombe du vénérable mlk

photo souvenire
photo souvenire 

 Cher Brotherhood compagny,

Comme vous le savez suite a la mort successive de ma mère, de mon père, de ma marraine, et de mon parrain, j'ai entamé mon pèlerinage, que j'ai débuté aux Etats-Unis berceau du Hip Hop et des fast food, où j'ai pu me recueillir devant les tombes de Malcolm x (a savoir: c'est le Cheikh Ahmed Assoun,qui a accomplit les rites funéraires musulmans), de martin Luther King, et de Steven (un pote a moi qui est parti trop vite). Apres avoir pris ma carte de membre au B.P.P, j'ai continué mon pèlerinage en direction de l'Afrique Berceau de l'humanités, et de l'humanité ( le journal).

 

C'est dans ce petit pays des cotes Africaines qu'on appelle Erythrée, que j'ai posé mes bagages, pour vous écrire ces quelques mots. les paysages sont somptueux, la population amicale, et tu va être content Darwin, car les filles sont faciles mais malheureusement pour moi, j'ai oublié ma drogue du viol. Ce pays est très enrichissant d'un point de vu culturel, car ici la population est très bien répartie sur l'ensemble du territoire contrairement a la France où ce sont dans les villes que la population est concentrés (même si la population Française est plus con que centré).

 

Vous me manquez tous, j'ai hâte de vous retrouver ; mais même ici, Darwin, on ma raconté tes exploits sexuels; quand a toi Jim, tu est aussi très connu pour tés problèmes intestinaux, a un tel point qu'on te surnomme "El Fidel Gastro". Je n'ai encore rencontré aucun blanc, quel pays merveilleux. 

 

L'Erythréein parle couramment 7 langues et en a 2 ( exemple: comme le dragon), ici on ne connaît pas la petite "Monet", on paye seulement avec des grands tableaux. l'Erythrée est un pays où il fait toujours beaux et qui connaît des pointes de 90km/h (exemple: comme le guépard). la capitale de l'Erythrée est Mexico 68. Ce pays tien son nom depuis 1998, lors de la mort du Zimbabwe car c'est lui qui a tous Erythrée, au dépend de Madagascar (le dessin animé). De plus ici on ne confond pas l'Inde et la France. La M.I.J est aussi très connu et très soutenu dans ce pays, tout comme L'A.F.P. 

 

Voilas cher brotherhood compagny, ces sur ces quelques mots que je vous laisse, je serai bientôt de retours dans mon Jura natal.

 

Marc, votre ami de toujours et amant d'un soir.

De Mexico 68, le 4 de la lune de Rebiab 2, 2006.

ps: le cinéma Francais est-il vraiment en couleur?

 

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